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Amélie

CHAPITRE VI : Féline

22 Janvier 2016 , Rédigé par Emmanuel

CHAPITRE VI : Féline

La porte fermé, elle marche doucement dans le couloir. Elle regarde en arrière pour voir son amant qui ne bouge plus. Il ne l'a suis que du regard. Elle poursuit son petit chemin, fait demi-tour, tout en roulant des hanches. S'approche de lui, le contourne. La main tendu vers lui. Le doigt courant sur ses vêtements. Elle le contourne et reprend ainsi la route jusqu'au bout du couloir.

Il se décide à présent et avance pour la rejoindre. L'instant est tendre, jusqu’au moment ou il l'attrape par le bras d'une manière plus qu'énergique. Il plaque alors sa proie contre lui. Son autre main est déjà sur son seins droit. Elle revoie alors la scène de la voiture. Son seins est pétri avec fermeté. A travers le tissu, son téton trahi son plaisir, elle souris. Lui ne cache plus sa vigueur. Son pantalon à capitulé et ne peux rien cacher de plus. Son vêtement ainsi durci collé contre son ventre, donne à Amélie quelques frissons dans le creux de ses reins. Leur bouche n'ont pût être séparé plus longtemps., Elles sont de nouveau ensemble, parfois se frottant, parfois s’échappant l'une de l'autre.

C'est a cette instant qu'il lui dispense de nouvelles instructions.

- « Déshabilles toi, ne garde que tes chaussures ! »

Elle recule, l'index glissant le long de son décolleté et commence doucement une danse pour accompagner la mise à nue de sa chair. Les tissus tombent au sol, les uns après les autres.

Désormais, c'est chose faite. Elle est totalement dévêtue, mais continue de danser, cuisses ouvertes, les mains derrières la têtes. Elle se cambre au plus qu'elle sait le faire et bascule sa croupe de gauche à droite.

Elle se retourne, place ses mains sur ses genoux, tout en restant le fessier tendu.

Amélie offre ainsi une pose inoubliable à son invité, debout, les épaules en arrière toute cambrée, seins tendu en avant. Son amant entreprend de nouvelles caresses, commençant par les chevilles, une mains sur chacune d'elles, remonte jusqu’à ses l’intérieur de ses cuisses. Il poursuit jusqu'au bas de son dos et remonte ainsi jusqu’à ses épaules pour redescendre sur ses seins.

Alors posté derrière elle, il commence a pincer le bout de ses seins et à les tirer pour tendre autant que permit.

C'est alors que l'homme décide de lui poser la question qui rompt la poésie du moment.

- « Tu veux être traité comme une jeune vierge, doucement tendrement ? Ou désires tu que je t'inflige un traitement digne d'une pute ? »

Après quelques instant sans réponse, un claquement provoque à la jeune femme un début de douleur sur les fesses. Il vient de lui assener une magnifique fessée. Suivi d'une autre, puis encore une autre. La série s’arrêtera à cinq.

- « J'ai bien compris » dit'il avec le sourires

Il place alors la main au milieu de sa croupe, comme pour lui dire que ce soir, elle ne sera pas une jeune vierge. Elle s’exclame alors.

- « Ouuuiiiiiii ….. »

Les claquement reprennent alors, plus fort, plus intense. Le fessier rougi, Amélie contient sa douleur. La bouche ouverte elle regarde son bourreau faire son office sur son arrière train.

Puis, il cesse la douloureuse correction. S’accroupit derrière elle. Amélie à compris, elle n'attend que ça. Enfin il va enfouir son museau dans sa magnifique croupe déjà toute suintante et entreprendre sa petite toilette.

Elle ferme les yeux, et involontairement chuchotte ces mots à voie basse ;

- « Merciiiiii ».

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