CHAPITRE VII :Suffocation

Un genou à terre, il dépose ses mains sur chacune de ses fesses. Les agrippe fermement et ouvre le cadeau qu'il lui est fait. Son premier réflexe ainsi posté, sera de renifler l'arrière de son amante. Appréciant son parfum, il ne peut s’empêche de coller son nez sur l'orifice. Il se laisse aller quelques secondes. C'est ensuite, qu'il commente ce qu'il vient de sentir, lui dit qu'elle est son petite ange et qu'elle sent bon la salope.

Ces propos teinté de vulgarité et de tendresse fait vite place aux gémissements non retenue d'Amélie lorsque son amant débute sa toilette. Elle toujours debout et lui à genoux derrière elle, il passe son visage entre ses cuisses et dépose sa langue sur le bas de sa chatte. Le léger espace d'épiderme qui sépare les deux orifice de la belle, sera bientôt nettoyé. Il salive volontairement en appliquant cette caresse afin qu'elle soit des plus délicate. Il termine son parcours sur la petite rondelle d'Amélie et commence à forcer son petit cul. Sa langue est musclée et claque à chaque intrusion dans l'intimité de la douce. Il pénètre ainsi la jeune femme qui se détend et ne retient plus son invité.

Cela fait déjà plusieurs minutes que la belle ronronne et se plaît dans cette position. Ce n'est plus une toilette qu'elle doit apprécier. A présent, elle se faire entièrement dévorer la croupe par son affamé de complice. Celui-ci va sans cesse de son petit cul jusqu’à sa chatte et n'en fini pas d'aspirer le plaisir de sa jeune amante.

Amélie commence a sentir ses cuisses la trahir, elle deviennent tremblante. Elle ne contrôle plus ni sa respiration ne les cris qu'elle offre en récompense à son partenaire. Elle voudrait commenter la scène, mais a bien du mal à formuler ses propos qu'elle voudrait pourtant le plus salace possible.

Il semblerait que plus rien n’arrêtera l'individu. Il poursuivra son œuvre, tant qu'Amélie sera postée ainsi. Désormais c'est tout son corps qu'Amélie ne contrôle plus. Même sa vessie semble vouloir être de la partie. Profitant que son amant s'attarde un peu plus à l'arrière de sa croupe, Amélie décide de s'infliger de vigoureuses claques sur la chatte, dans l'espoir d'un peu de ne pas succomber tout de suite. Mais rien n'y fait, elle voudrait se retenir, ne pas infliger ça à son partenaire. Mais elle se rend vite compte qu'elle ne maîtrise plus rien. C'est à ce moment là, alors qu'elle tente désespérément de lutter, que le liquide chaud jailli de son clitoris. La réaction de son amant ne se fait pas attendre. Au lieu d'un réflexe de recul, il s'avance, bouche et langue tendu pour mieux se positionner un peu plus sous elle. Elle sent le souffle de ses naseaux lui sécher le cul. Elle n'en fini pas de se soulager en vidant la totalité de sa vessie sur sur lui. Son amant entame alors de frénétique mouvement avec le bout de sa langue pour venir titiller son clitoris.

Amélie est maintenant totalement hors de contrôle. Ses genoux, ses cuisses ne veulent plus la soutenir. Elle est obliger de réajuster sa position en permanence. Ses pieds ne cesse de bouger de place, elle ne tiendra plus ainsi encore très longtemps. Le liquide continue de couler le long de ses cuisses et sur le visage de son étalon posté derrière elle, la tête enfoui entre ses cuisses. Les spasmes ont envahi Amélie qui fini par s'effondrer sur le carrelage. Genoux, épaules et tête au sol, même dans cette nouvelle position, Amélie est toujours cambrée. Son amant qui n'a rien lâché pendant la descente, termine sa dégustation en lui aspirant l'intégralité du sexe. A présent il a ses lèvres en bouche, les tètes, les aspires avant de se retirer et de se relever.

Debout, il contemple son œuvre. Sa victime est suffocante, allongée au sol et baignant dans son liquide. Il conclura la scène en félicitant la jeune femme et lui expliquant qu'elle n'avait encore rien vu.

Au sol, les yeux encore fermés, Amélie esquisse involontairement un sourire.