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Amélie

CHAPITRE VIII : Apprivoisée

28 Janvier 2016 , Rédigé par Emmanuel

CHAPITRE VIII : Apprivoisée

Le souffle encore court, Amélie restait allongée sur le sol dans cette flaque qui résumait l'orgasme foudroyant qui venait de la traverser. Elle était toujours au pieds de son bon bourreau, lorsque celui-ci sorti un objet de la poche de sa veste. L'objet en question était un petit collier en cuir noir, surmonté de quelques artifices chromés en guise de décoration. C'était le genre de petit collier que l'on réserve d'habitude à son animal de compagnie. Il était évident que l'homme le réservait également à cette usage afin d'ornée sa jeune chienne.

C'est ensuite qu'il attrapa la jeune femme par les cheveux afin de la redresser suffisamment pour lui passer son nouveau bijou au cou.

Amélie était perturbé par ce qui était en train de se produire. Elle regardait son amant, tandis que celui-ci refermait l'attache de ce qui symbolisait désormais son acte de propriété.

Elle passait doucement la main dans son cou, comme pour vérifier de la réalité des faits. Elle touchait ainsi le morceau de cuir tout en restant à genoux au pied de son homme. Celui-ci, sans attendre sorti un autre ustensile de son veston. Cette fois-ci, il n'était pas question de cuir mais de métal. C'était une petite chaîne chromé avec à son bout, une petite attache. Ainsi était faite la laisse qui devait rejoindre le collier d'Amélie. La jeune femme se trouvait maintenant affublé d'un magnifique collier en cuir auquel était suspendu sa nouvelle laisse. Laisse au bout de laquelle son amant la tenait fermement.

Amélie était un peu effrayé par cette nouvelle situation. Mais elle n'en restait pas moins une magnifique petite salope. Chose qu'elle aimait a se rappeler. Ce qui provoqua en elle une nouvelle excitation. Cette nouvelle émotion ,l'idée de ne plus être que son jouet, son esclave déclencha chez Amélie une sensation de chaleur qui descendit jusqu’à son bas ventre.

A genoux sur le sol, les mains entre les cuisses, la bouche au niveau de la ceinture de son bourreau, Amélie le regardait toujours droit dans les yeux. A cet instant, celui-ci lui ordonna de lui dégrafer son pantalon et d'en sortir sa queue. La jeune femme s'exécuta sans attendre et fit sortir le sexe de son partenaire. Elle regardait cette queue magnifiquement dressée, d'une taille plus que raisonnable sans pour autant atteindre l'exagération. Elle ne quittait plus ce sexe des yeux, celui-ci était si dur et si tendu, qu'elle n'arrivait plus a en détourner son regard.

Dominant toujours sa proie, l'homme qui tenait encore la jeune femme par la crinière l'incita à lui sucer la queue. Il lui détaillait même les pratiques qu'elle devait réaliser. Elle devait saliver copieusement sur sa queue, enfourner la totalité de l'engin dans sa bouche et tout ceci sans cessé de le regarder. Amélie s'exécuta et commença alors de vigoureux vas et viens le long de l'engin. La belle salivait abondement. Suffisamment pour que le liquide finisse par couler de sa bouche jusqu’à sa poitrine. Continuant sa course sur son ventre, pour finir sur sa chatte, la salive d'Amélie se mélangeait ainsi avec sa cyprine. Elle sentait cette bite souiller sa bouche. Cette queue qui était si dur, rien ne pouvait lui résister se disait elle.

C'est au moment ou elle avait ses pensée que l'homme sorti violemment son sexe de la bouche d'Amélie. Il posa alors sa bite sur le doux visage de la belle pour mieux étaler la salive qui coulait encore de la bouche sa jeune suceuse.

Le maître approcha ensuite sa bouche de celle de sa jeune victime et entreprit un baiser qui tenait plus de la pornographie que de l'érotisme. C'est après cette échange, qu'Amélie tenant le sexe de son partenaire dans les mains, fit raisonner le mot « encore »...

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